Espèces communes que vous pourrez reconnaître et déguster
Où: Chez Daniel Parisien, 533 ch. Boundary, Alfred ON (stationnement sur Boundary)
Quand: samedi 21 septembre 2013, de 9h00 à 16h00 (sous la tente et en forêt)
Qui: Ouvert à tous – Réservations obligatoires – Nombre de participants strictement limité à 60.
Frais d’inscription (payables à l’entrée): membres de Boisés Est : 15$/pers. – autres : 25$/pers.
Objectifs :
Conférencier : Gérald Le Gal. Gérald est co-fondateur de l’Association pour la commercialisation des champignons du Québec. Il a co-animé avec sa fille Ariane l’émission ‘Coureurs des bois’ diffusée à Télé-Québec. Il a aussi publié un livre sur les plantes sauvages comestibles et les champignons forestiers du Québec : ‘Aventure sauvage, de la cueillette à l’assiette’.
Programme :
9h00 – Inscriptions
9h30 à 11h00 – Présentation de Gérald Le Gal, suivie d’une période de questions.
11h00 à 12h00 – Sortie en forêt avec les moniteurs : Gérald Le Gal, Serge Clément (ancien membre de l’Association mycologique de France) et Michel Ashby (membre actif des Mycologues amateurs de l’Outaouais.
12h00 à 12h30 – Lunch et échange d’idées sous la tente.
12h30 à 14h00 – Deuxième sortie en forêt avec les moniteurs.
14h00 à 15h45 – Id. des champignons récoltés durant les sorties en forêt et dégustation des champignons sautés à la poêle.
15h45 – Remerciements et attribution du prix de présence.
Beau temps mauvais temps, bibittes pas bibittes. Veuillez vous équiper en conséquence. Apportez un panier (ex. panier en osier), un couteau pour déterrer les champignons, et N’OUBLIEZ PAS VOTRE CHAISE DE PARTERRE.
Veuillez confirmer votre présence (et le nombre de personnes) par téléphone ou courriel avant le 17 septembre 2013 à Jean-Claude Havard (613-673-3089 – [email protected]). Rappelons que le nombre de participants sera strictement limité à 60.
Inscrivez-vous donc tout de suite pour ne pas oublier! Merci et au plaisir de vous revoir.
Boisés Est remercie la Fondation Trillium de l’Ontario qui a contribué au financement de l’atelier.
NOUVEAU : la subvention Boisés Est pour l’aménagement du boisé prolongée jusqu’au 30 juin
22 avril 2014 – Avec l’accord de la Fondation Trillium de l’Ontario, Boisés Est prolonge le programme de subvention aux travaux de réalisation d’un plan d’aménagement ou plan d’intendance.
Le programme prolongé couvre les dépenses encourues pour la réalisation d’un plan existant, approuvé par un approbateur reconnu. Voir tous les détails dans le formulaire téléchargeable en cliquant sur le lien en haut à droite sur cette page. Il faut se dépêcher, car cette offre exceptionnelle se terminera le 30 juin.
À NOTER : Le programme de remboursement pour la préparation d’un plan a pris fin le 31 mars et n’est pas prolongé.
Si le programme vous intéresse ou si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec Jean-Claude Havard au 613-673-3089, courriel: [email protected]. L’octroi d’une aide financière est sujet aux limites de budget imposées par la Fondation Trillium de l’Ontario.
Boisés Est a posé un geste concret envers la conservation des boisés de l’Est ontarien
Boisés Est a offert, de la fin août 2013 à la fin mars 2014, un incitatif financier aux propriétaires qui ont fait préparer un plan d’aménagement pour leur boisé (200$), ainsi qu’une contribution financière jusqu’à 300$ pour travaux effectués en vue de mettre en œuvre ce plan. Depuis le début d’avril, seuls les travaux exécutés dans le boisé en vertu d’un plan d’aménagement dûment approuvé peuvent être admissible à une subvention maximale de 300$. Voir tous les détails dans le formulaire téléchargeable ci-haut.
Pourquoi un plan pour le boisé ? « D’abord parce que c’est un outil très utile pour vous guider dans vos travaux forestiers et vous aider à utiliser le plus efficacement possible le temps et autres ressources que vous consacrez à votre boisé », explique Jean-Claude Havard, secrétaire de Boisés Est.
« La préparation du plan vous amène à réfléchir à vos objectifs et à vos priorités. Et c’est vous qui en décidez en autant que vous visez à une gestion saine et durable de votre boisé », assure M. Havard.
Un Plan de forêt aménagée constitue l’une des actions qui contribue le plus à la valorisation et la préservation d’un boisé privé. Il permet de faire le bilan des richesses que contient votre boisé, d’aider à choisir vos objectifs pour l’avenir du boisé, ainsi que d’établir une stratégie pour les réaliser.
Beaucoup choisissent de gérer leur boisé essentiellement comme un lieu de loisir et de détente et pour le bénéfice de la faune et de la flore, mais cela n’empêche pas la coupe d’arbres raisonnable pour le bois de chauffage et en vue d’améliorer les conditions de croissance des arbres dans le boisé.
Un bonus additionnel: selon la catégorie d’imposition attribuée à votre boisé par la Société d’évaluation foncière des municipalités (MPAC), un plan approuvé peut aussi vous vouloir un rabais de taxes atteignant 75 % sur la partie éligible de votre terrain.
Le boisé doit couvrir au moins 4,0 hectares ou 9,88 acres et le propriétaire doit être membre en règle de Boisés Est.
4 sept 2013 – La célébration de la Forêt Larose revient cette année le dernier samedi de septembre. Tout le monde y est invité. Plusieurs activités sont au programme, telles qu’un spectacle d’oiseaux de proie, une démonstration d’élagage d’arbre, te temps du conte et maquillage pour les petits, et une course de fond. Le tout se déroulera entre 10 h à 15 h au Pavillon Henri Latreille, côté Chemin Indian Creek de la Forêt Larose. Tout est y gratuit, sauf le dîner spaghetti ($7 adulte, $3 enfant). [Pour plus de renseignements et la carte indiquant le stationnement, cliquez sur le titre ou l’image]
ENCOURAGER une utilisation durable de la forêt dans le respect de critères sociaux, économiques et environnementaux,
● en favorisant une gestion équilibrée des boisés de ses membres; et
● en valorisant la forêt auprès de la population.
Téléchargez le dépliant promotionnel
L’ASSOCIATION FRANÇAISE DES PROPRIÉTAIRES DE BOISÉS PRIVÉS DE L’EST DE L’ONTARIO a été fondée le 26 février 1998, au Collège d’Alfred, en présence de 89 personnes, dont Jean-Marc Lalonde, député provincial, et Alain Lalonde, qui représentait Noble Villeneuve, aussi député provincial. Elle fut incorporée le 11 mai de la même année.
Le nom « Boisés Est » était enregistré peu après pour faciliter les communications.
L’idée de créer cette association remontait à l’été 1994. Sous l’impulsion de Jacques Bouvier et Pierre Chartrand, le campus de La Cité collégiale à Hawkesbury s’engageait à parrainer le projet, qui répondait à un besoin reconnu d’offrir aux propriétaires de boisé des services en français dans les municipalités de Prescott-Russell, Ottawa-Carleton, et Stormont-Dundas-Glengarry.
L’objectif principal était de communiquer aux propriétaires les notions nécessaires à une gestion optimale de leur boisé. La tempête de verglas de janvier 1998 et les dégâts qu’elle avait provoqués ont eu pour effet d’accélérer le processus.
Pour la petite histoire, rappelons que l’association avait alors reçu l’appui financier de l’ACFO (300 $) et de la Municipalité régionale d’Ottawa-Carleton (500 $).
Février 1998 – L’assemblée constituante forme le premier conseil d’administration, qui se compose de Jacques Lormand, président, de Denis Parisien, vice-président, d’Achille Drouin, secrétaire-trésorier, et aux postes d’administrateurs : Claude Joly, Madeleine Charette et Denis Lacelle.
La nouvelle association pouvait compter sur un certain nombre de personnes-ressources, telles que Charles Tremblay (ministère du Développement des ressources humaines), Louis Prévost (Société de conservation de la rivière Nation Sud), Eric Mikkleberg (Forêt modèle de l’Est de l’Ontario), Marie-France Bernier (chargée du programme de verglas pour le ministère), Pierre Boileau (Forêt Larose), Stephen Virc (du Conseil d’intendance environnementale de Prescott-Russell) et Pierre Chartrand (du programme d’aide aux agriculteurs). La première version de la constitution fut rédigée par Jean Poirier, autre acteur important dans le lancement de l’association.
Comme prévu, l’une des premières grandes activités consistait à aider les propriétaires de boisés victimes de la tempête de verglas. Elle recevait à ce titre une subvention du Programme d’aide au rétablissement des forêts (ARF) en 1998, suivie au début de 1999 d’une deuxième subvention.
2001 – Boisés Est accepte de gérer le programme « D’une tourbière à l’autre » (« Bog to Bog »), au nom d’une liste imposante de partenaires. Financé par la Fondation Trillium de l’Ontario (FTO), organisme qui relève du gouvernement de l’Ontario, ce programme a joué un rôle critique dans la valorisation et le développement des terres humides et des forêts de notre région. Il s’est poursuivi jusqu’en 2004.
2005-2006 – Une subvention de la Société de développement communautaire de Prescott-Russell (SDCPR) permet à Boisés Est d’offrir à ses membres un premier programme visant à faciliter la préparation de plans d’aménagement forestier.
2007-2008 – Cette initiative se poursuit, toujours avec l’appui financier de la SDCPR. Le programme comprend également une contribution financière à la mise en œuvre du site Web, qui dote Boisés Est d’un instrument beaucoup plus puissant pour faire connaître ses objectifs, communiquer avec ses membres, et faire connaître ses objectifs à de nouveaux propriétaires et partenaires.
2008 – Boisés Est fête son 10e anniversaire. Le nombre de membres atteint le seuil de 80.
2009-2010 et 2010-2011 – De nouvelles subventions de la FTO, partagées avec l’Intendance environnementale de Prescott et Russell permettent de poursuivre cet effort et de lancer un programme de certification FSC (Forest Stewardship Council) sous l’égide de la Forêt modèle de l’Est de l’Ontario (FMEO). Présentée sous le thème « Prestige et Valeur » choisi par Boisés Est, la certification FSC représente les valeurs essentielles d’une gestion forestière qui vise la durabilité dans le respect des facteurs économiques, environnementaux et sociaux.
2010-2012 – Boisés Est participe au Programme de ressources pour les boisés (PRB) aux côtés du SD&G Certified Forest Owners et de la Conservation de la Nation Sud, entre autres partenaires, dont la FTO, qui assure l’essentiel du financement. Le PRB visait à offrir aux propriétaires de boisé une visite de terrain et un bref rapport de suggestions pour un bon aménagement. Ce programme se poursuit encore aujourd’hui dans Prescott et Russell grâce à une subvention des Comtés unis.
2013 – Boisés Est fête son 15e anniversaire. Avec plus de 160 membres, c’est le principal regroupement de propriétaires de boisé du territoire, un succès qui s’explique en grande partie par un vigoureux programme d’ateliers (12 en 2012) avec des thèmes variés (connaissance du boisé, aménagement du boisé, revenus du boisé, etc.). Combinant présentations théoriques et démonstrations pratiques dans les boisés de membres ou à la Forêt Larose, ces ateliers se veulent un outil d’information pratique pour le développement et la valorisation des boisés privés. La participation prouve abondamment qu’ils répondent à un besoin.
Depuis sa création, Boisés Est publie des bulletins trimestriels qui viennent compléter la série d’ateliers et accompagnent le programme de communication de Boisés Est dans le virage technologique en cours. Les 47 éditions de l’INFO de boisés Est sont consultables sur le site Web.
Boisés Est intervient par ailleurs pour faciliter la participation de ses membres à des programmes créés par d’autres organismes et sert souvent de relais pour donner accès en français à ses membres à des programmes qui ne sont généralement disponibles qu’en anglais. C’est le cas pour la certification FSC, déjà mentionnée, et le rétablissement du noyer cendré, entre autres exemples.
Boisés Est a récemment obtenu une nouvelle subvention d’un an de la FTO pour son projet « Valorisation de la forêt », qui vise à renforcer (a) les services offerts aux propriétaires de boisé privé, (b) l’effort en faveur de la forêt en général, et (c) la structure organisationnelle de l’association. Cette subvention aura notamment permis d’engager un chargé de projet à temps partiel, de mettre à jour le plan de développement de Boisés Est, et d’offrir un incitatif financier à la formulation et à la réalisation d’un plan d’aménagement du boisé. Dans certains cas, le plan d’aménagement donne accès au Programme d’encouragement fiscal pour les forêts aménagées (PEFFA), qui donne droit à un dégrèvement fiscal comparable à celui dont jouissent les propriétaires agricoles.
Sans vouloir minimiser l’importance des subventions reçues, on donnerait de Boisés Est une fausse image si l’on négligeait le rôle majeur que jouent le bénévolat et les partenariats dans les services assurés. Le rapport aux membres pour 2012 faisait état d’une vingtaine de partenaires. Quant au bénévolat, il constitue la clé de voûte de l’organisme et le secret de son succès sans aucune mesure avec ses ressources financières modestes.
24 août 2013 – La Foire du bois et encan de Glengarry arrive à la maîtrise. Avec une très belle journée de fin d’été, ni trop chaude, ni trop froide, ni trop humide, ni trop venteuse, les visiteurs étaient nombreux au rendez-vous et ils avaient l’air ravis! Il y a aussi un album photos qu’on peut aller visionner. [Cliquez sur le titre pour plus de détails]
Le bois est au cœur de la 5e édition de la Foire du bois de Glengarry, qui aura lieu samedi qui vient, le 24 août, à partir 10h au Glengarry Pioneer Museum, à Dunvegan. Il y aura, entre autres: démonstrations de sciage, équarrissage de billes, sculpture à la main et à la scie mécanique, fabrication de bois de chauffage – l’ancien et le nouveau. On y trouvera des fabricants locaux de meubles et autres artisans talentueux, des nouveautés en matière d’équipement forestier pour le boisé familial, etc. Les associations locales de propriétaires de boisé sont sur place. Il y a de l’animation pour les enfants, de la bière fraîche, de la musique toute la journée, et bien entendu l’encan de bois. [Pour lire la suite, cliquez sur le titre]
9 août 2013 – Avec tous les orages et coups de vent que la région subit depuis des semaines, beaucoup de propriétaires ont dû s’improviser « bûcheron » d’occasion. Et avec la pression de remettre le terrain en bon état et dégager les voies de passage, nombreux sont ceux qui « oublie » de « penser d’abord sécurité », et d’enfiler ne serait-ce que les équipements élémentaires de protection personnelle. Boisés Est vous offre un article résumant les grandes lignes de la sécurité avec la scie à chaîne, que vous pouvez voir en cliquant sur le titre. Et par-dessus tout, que vous soyez bûcherons occasionnels ou professionnels, pensez d’abord sécurité, pour vous et votre famille. [Cliquez sur le titre, ou la photo, pour consulter l’article]
Les travaux de défrichage, d’élagage ou d’abattage dans nos boisés ou nos parterres exigent plus qu’une scie mécanique. Vous devez à votre famille et à vous-même d’employer un équipement de protection adéquat et des techniques sécuritaires de travail. C’était le sujet de l’atelier Boisés Est du 20 avril 2013.
Jean-Paul Gervais, professeur de foresterie à La Cité collégiale et copropriétaire d’une entreprise d’aménagement paysager, a passé en revue les équipements de protection que nous devrions porter, bûcherons occasionnels ou professionnels, ainsi que les caractéristiques de sécurité des scies à chaîne modernes.
Un bon casque de protection, muni d’une visière et de protège-oreilles, est essentiel. La visière (un grillage métallique) empêche des débris de coupe de toucher l’œil. Les protège-oreilles… comme le nom l’indique, protègent l’ouïe de l’opérateur.
Les bottes de bûcheron protègent les pieds et les jambes d’un coup de scie inopportun. Elles contiennent des fibres très tenaces qui bloqueront la scie avant même qu’elle atteigne votre peau. M. Gervais, qui en portait une paire tout au long de la présentation, affirme que ces bottes peuvent être tout à fait confortables. Une bonne paire se détaille un peu plus d’une centaine de dollars, mais en vaut la peine.
Même degré de sécurité avec les pantalons de bûcheron, qui contiennent des fibres bloquant (presque instantanément) le mouvement de la lame de scie. On doit rechercher la norme de sécurité « 3900 » pour la densité de fibres. La densité « 2800 », qu’on retrouve dans certains modèles moins chers est insuffisante, prévient M. Gervais.
Les jambières de protection que l’on glisse par-dessus les vêtements de travail accordent le même degré de protection pour l’avant des jambes, mais peuvent être moins confortables à porter. Et elles ne sont pas tellement moins chères que les pantalons.
Les gants de bûcheron, qui contiennent, eux aussi, un matelassage de fibres, arrêtent la lame et protègent le dessus de la main.
Il existe aussi un kit de sécurité qui comprend un sifflet pour se faire entendre quand on est en mauvaise posture en forêt. Il est aussi recommandé d’être à jour avec la vaccination contre le tétanos.
Les scies à chaîne modernes comprennent des caractéristiques de sécurité qui réduisent les risques.
Les poignées sont montées sur des caoutchoucs qui absorbent les vibrations, protégeant les doigts de l’engourdissement.
Toutes les scies homologuées au pays portent obligatoirement un frein de chaîne qui protège le visage de l’opérateur au cas de rebond. La manette du frein est disposée juste devant la poignée de la main gauche. On doit pouvoir l’enclencher en poussant légèrement avec le revers de la main.
Il faut régler le ralenti pour que la scie cesse de tourner quand on lâche l’accélérateur.
Même l’aiguisage régulier de la lame fait partie de la sécurité. Une lame bien aiguisée rend le travail plus rapide et plus aisé, réduisant ainsi la fatigue et les risques de manœuvres dangereuses.
Malgré tout, souligne M. Gervais, la meilleure protection se trouve entre nos deux oreilles. Nous connaissons presque tous quelqu’un qui a subi un accident au cours de travaux de défrichage, d’élagage ou d’abattage. Un bon équipement ne suffit pas. Il faut aussi apprendre et appliquer les méthodes sécuritaires de travail. Et il faut les remettre continuellement à jour.
On ne peut certainement pas tout prévoir, mais on augmente considérablement ses chances en prenant le temps de se préparer et de penser avant d’agir.
31 juillet 2013 – Les albums des photos de la visite de la Forêt des métis au Jardin botanique de Montréal, de la Soirée de contes du 23 avril dernier et de l’atelier sur les pratiques sécuritaires avec la scie à chaîne du 20 avril, sont maintenant disponibles sur le site. [Cliquez sur le titre pour plus de détails]