5 mai 2014 – Avec le retour du beau temps, voyez quelques-uns parmi les meilleurs outils pour l’identification des espèces retrouvées dans les boisés et leur alentour. Ces références ont été suggérées par Daniel St-Hilaire, enseignant au post-diplôme en aménagement de la faune au collège La Cité, lors de l’atelier sur les espèces rares et menacées du 12 mai 2014. Cliquez pour découvrir quels sont ces références
30 avril 2014 – Avez-vous pensé à faire l’aménagement de milieux pour encourager les amphibiens, les reptiles et même les oiseaux sur votre propriété? Les amphibiens et les reptiles, présents partout sur le territoire où il y a de l’eau stagnante, sont plus discrets et plus difficiles à observer, et beaucoup d’espèces sont en péril, par manque d’habitats sécuritaires. Inspirez-vous en allant voir la série de fiches techniques très bien documentées de la Fondation de la faune du Québec : aménager un étang temporaire, construire un étang permanent, abris sous roches, vieux troncs pour couleuvres et salamandres, sites d’hibernation, etc. Pour voir les fiches, cliquez sur le titre ou sur l’image
Les amphibiens et les reptiles, présents partout sur le territoire où il y a de l’eau stagnante, sont plus discrets et plus difficiles à observer.
Cependant, rares sont ceux et celles qui n’ont pas déjà écouté le chant des rainettes crucifères par de belles soirées du mois de mai… un doux concert évocateur de l’été qui approche.
Même s’il reste beaucoup de choses à apprendre, les informations recueillies au fil des ans sont suffisantes pour permettre de suggérer des aménagements très simples visant à favoriser ces espèces.
Voici une fiche très bien documentée de la Fondation de la faune du Québec (www.fondationdelafaune.qc.ca/initiatives/guides_pratiques) qui aidera le propriétaire à réaliser de petits travaux pour contribuer au maintien des populations d’amphibiens et de reptiles qui fréquentent sa propriété.
Au menu : aménagement d’étangs temporaires, comment construire un étang permanent, abris multiples avec roches, vieux troncs pour couleuvres et salamandres, sites d’hibernation, aménagement de vieilles clôtures, de petits cours d’eau, etc.
Profusion d’idées de projets, de photos, de croquis et de réalisations dans les documents suivants, également de la Fondation de la faune du Québec : Les habitats des amphibiens et des reptiles, Les habitats des oiseaux.
28 avril 2014 – Pourquoi greffer des arbres? C’était l’une des questions posées à François Gour, notre conférencier, lors de l’atelier de Boisés Est du 15 mars dernier. Et, bien entendu, la deuxième était : comment greffer? De nos jours, la plupart des arbres fruitiers ou même ornementaux vendus en pépinière sont greffés. La pratique serait même contagieuse puisqu’on greffe aussi, semble-t-il, les plants de tomates. On n’arrête pas le progrès! Pourquoi greffe-t-on? Disons pour simplifier que c’est souvent pour obtenir un arbre ou autre plante présentant les mêmes caractéristiques qu’un spécimen que l’on considère désirable. Alors, pourquoi ne pas l’essayer ? Pour lire la suite, cliquer sur le titre ou l’image.
Pourquoi greffer des arbres? C’était l’une des questions posées à François Gour, notre conférencier, lors de l’atelier de Boisés Est du 15 mars dernier. Et, bien entendu, la deuxième était : comment greffer?
De nos jours, la plupart des arbres fruitiers ou même ornementaux vendus en pépinière sont greffés. La pratique serait même contagieuse puisqu’on greffe aussi, semble-t-il, les plants de tomates. On n’arrête pas le progrès!
Pourquoi greffe-t-on? Disons pour simplifier que c’est souvent pour obtenir un arbre ou autre plante présentant les mêmes caractéristiques qu’un spécimen que l’on considère désirable.
Exemple : vous avez derrière la maison deux pommiers. Un de ces pommiers provient d’une serre reconnue de la région et vous donne une belle récolte de pommes sucrées, juteuses, goûteuses, de bonne conservation…des pommes idéales! L’autre est apparu un jour, cadeau d’un oiseau quelconque; il est très vigoureux mais les pommes vous paraissent pas mal surettes. En greffant un rameau du pommier désirable sur le pommier naturel, vous serez peut-être capable de doubler votre production de pommes. Une bonne raison de tenter l’expérience, non?
Et si vous n’aimez pas les pommes, rien ne vous empêche de greffer un cerisier, un prunier ou une épinette bleue. Dans tous les cas, il vous faudra un porte-greffe (l’arbre qui est en terre) et un greffon (le rameau que vous avez choisi sur l’arbre que vous voulez reproduire). Naturellement, le greffon et le porte-greffe doivent être de la même famille.
Dans un arbre, la sève circule dans une mince couche appelée le cambium, la partie verte située entre l’écorce et le bois. C’est là que se concentre la vie de l’arbre. Le principe du greffage consiste à mettre en contact le cambium du porte-greffe et celui du greffon de façon que la sève passe de l’un à l’autre. En peu de temps, les tissus végétaux cicatrisent et le nouveau rameau, alimenté par le porte-greffe, peut se développer et vous donner les pommes, les noix ou les aiguilles bleues que vous souhaitiez.
Comment s’y prendre? Il existe bien des techniques. Elles varient selon les conditions mais aussi selon la préférence du greffeur ou de la greffeuse. Lors de l’atelier, François Gour nous en a illustré les plus courantes. Pas besoin de matériel bien compliqué! Avec un bon couteau, du ruban adhésif du genre adhésif électrique et de la cire à greffer, on peut réaliser une greffe bien ajustée, bien serrée et étanche. L’arbre ne s’apercevra même pas que vous lui avez joué un tour.
Ceux qui n’ont pas eu la chance d’assister à l’atelier pourront aller chercher les détails techniques sur l’Internet ou encore consulter un livre qu’ils pourront demander à la bibliothèque.
Quand vous aurez les outils, la technique, le porte-greffe et le greffon, il ne restera qu’un seul obstacle entre votre désir et la réalité : la réalisation. Ici, l’art rejoint la technique. François Gour, qui greffe passionnément depuis des années, nous parle de 75%, 80% ou même 95% de succès. Des résultats qui font rêver et qu’il a obtenus à force de patience et d’expérience. Pour le commun des mortels, il est sage d’être plus modeste… jusqu’à ce que, avec l’expérience et la patience…
Pourquoi greffer? Comment greffer? Maintenant que nous François Gour a si bien répondu à ces questions, il ne nous en reste qu’une à nous poser : pourquoi ne pas greffer?
Pour tout renseignement, communiquer avec Jean-Claude Havard au 613-673-3089 ou [email protected], ou visiter le site Web de Boisés Est à https://boisesest.ca/.
MAMMIFÈRES DU QUÉBEC ET DE L’EST DU CANADA
Édition revue et augmentée. Par Jacques Prescott et Pierre Richard. Parution : 2 septembre 2013, coll. Guides Nature Quintin, 482 pp, ISBN 978-2894356531.
Résumé : L’ouvrage de référence par excellence. Une 3e édition bonifiée et complètement remaniée. Tous les mammifères terrestres et marins du territoire, représentant une faune riche et diversifiée Des photos couleur saisissantes Une fiche d’identification bien documentée par espèce : caractères distinctifs, répartition, habitat, gîte, reproduction, alimentation, comportement social, prédateurs, notes Les cartes de répartition et la nomenclature les plus à jour Des annexes utiles sur les espèces à statut particulier et les traces Couverture cartonnée Partez à la découverte d’un monde fascinant !
AMPHIBIENS ET REPTILES DU QUÉBEC ET DES MARITIMES
Par Jean-François Desroches et David Rodrigue. Parution : 8 avril 2004, Coll. Guides Nature Quintin, Éditions Michel Quintin, 288 pages, ISBN 978-2894352441.
Résumé : Facile à consulter, bien illustré, voici enfin le guide qui comblera tous les passionnés. Souvent méconnus, les amphibiens et les reptiles fascinent un public de plus en plus large. Ce guide a été conçu pour répondre aux attentes tant des amateurs débutants que des herpétologistes chevronnés.
LE GUIDE PAQUIN-CARON DES OISEAUX DU QUÉBEC ET DES MARITIMES
Par Jean Paquin et Ghislain Caron. coll. Guides Nature Michel Quintin. 448 pp. ISBN: 9782894355213. Date de publication: 25 avril 2011.
Résumé : Le guide d’identification complet par excellence. Une nouvelle édition bonifiée: espèces supplémentaires, présentation pratique des familles, calendriers de présence; regroupant exclusivement les 334 espèces présentes au Québec et dans les Maritimes; des illustrations fascinantes du peintre animalier Ghislain Caron présentant les plumages caractéristiques de chaque oiseau; une fiche d’identification claire par espèce (plumages, vol, voix, habitat); une mine de renseignements complémentaires utiles (répartition, alimentation, nidification); les cartes de répartitions et les noms les plus à jour.
ONTARIO BIRDS AT RISK – STATUS AND CONSERVATION NEEDS
Par Madeline J. W. Austen, Michael D. Cadman et Ross D. James. 1994. Federation of Ontario Naturalists and Long Point Bird Observatory, Ontario. 165 pp. ISBN 10: 1896059015 / ISBN 13: 9781896059013.
ATLAS OF THE MAMMALS OF ONTARIO
Par Jon (Sandy) Dobbyn, Federation of Ontario Naturalists.
ATLAS DES OISEAUX NICHEURS DE L’ONTARIO (2001-2005)
Plus de 700 pp. Disponible auprès de Ontario Nature au prix de 63 $, incluant taxes, frais de port et de manutention au Canada et aux États-Unis. Basé sur l’un des projets d’étude et de préservation des oiseaux les plus réussis, les plus importants et les plus palpitants jamais entrepris en Occident. Au total, les participants au projet ont : passé le nombre incroyable de 150 000 heures sur le terrain, effectué 69 000 dénombrements ponctuels et envoyé le nombre phénoménal de 1,2 million de données sur les oiseaux nicheurs.
1Note: Outils pour l’identification des espèces retrouvées dans les boisés et leur alentour. Suggérés par Daniel St-Hilaire, enseignant au post-diplôme en aménagement de la faune au collège La Cité, lors de l’atelier sur les espèces rares et menacées du 12 mai 2014.
22 avril 2014 – Boisés Est pose un geste concret envers la conservation de nos boisés: un incitatif financier aux propriétaires de boisé de l’Ontario qui peut atteindre 300$. Avec l’accord de la Fondation Trillium de l’Ontario, Boisés Est prolonge le programme de subvention aux travaux de réalisation d’un plan d’aménagement dans le boisé. Il s’agit des dépenses encourues pour la réalisation d’un plan existant et approuvé. Tous les détails dans le formulaire téléchargeable en suivant le lien. À NOTER : Le programme de remboursement pour la préparation d’un plan a pris fin le 31 mars et n’est pas prolongé. Il faut se dépêcher, car cette offre exceptionnelle se terminera le 30 juin. [Cliquez sur le titre (ou l’image) pour plus de détails sur ce programme unique en son genre en Ontario]
08 avril 2014 – Vous trouverez dans ce tout nouveau INFO du printemps 2014 beaucoup de choses d’actualité pour Boisés Est, dont : Aménagement forestier à petite échelle, Arbres et arbustes : Conseils pour une plantation réussie, La taille des arbres – des conseils clairs de professionnels, Adoptez des petits noyers cendrés en 2014, La foire du bois de Glengarry, on y va naturellement, Plants forestiers : Conseils pour une plantation réussie, et plein de photos de nos activités. Vous pouvez allez voir les articles qui vous intéressent, ou encore téléchargez le document PDF couleur (1,6 Mo) et l’imprimer sur votre propre imprimante. Bonne lecture! [Pour allez lire l’INFO, cliquez sur le titre ou sur l’image]
26 mars 2014 – À l’approche du temps plus doux, nombreux seront les amateurs qui voudront faire de la taille sur leurs arbres et arbustes pour les mettre en forme à temps pour la belle saison. Voici quelques conseils qui ont été glanés lors du dernier atelier de Boisés Est par des professionnels du domaine. On pourra répondre à ces questions que l’on se pose souvent : Comment faire une coupe sans risquer de blesser l’arbre ? Comment placer correctement la lame du sécateur ? Voyez l’ABC du nettoyage des arbres ornementaux et des fruitiers. Sur l’image ci-contre : Comment contrôler les gourmands sur les arbres fruitiers. Ces branches verticles sans fruits doivent être éliminées. Pour lire la suite, cliquer sur le titre ou l’image
Une fiche technique d’Agriculture Ontario s’adressant plutôt aux professionnels :
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