Le respect de la forêt et des gens qui gravitent autour

3 décembre 2010 — La certification forestière utilise des vérificateurs indépendants qui veillent à ce que les gestionnaires, les spécialistes et les exploitants respectent les normes établies pour l’aménagement durable des forêts.

La certification forestière confirme à tous les intervenants que les pratiques d’aménagement :

  • Veillent aux bénéfices environnementaux, sociaux et économiques de la forêt
  • Contribuent à long terme au bien-être social et économique des collectivités locales
  • Maintiennent les fonctions écologiques, l’état de santé global et l’intégrité de la forêt
  • Précisent les objectifs à long terme pour la forêt, et fournissent une surveillance et évaluation continues
  • S’attardent aux aspects compositionnels, structuraux et fonctionnels de la biodiversité au sein de l’écosystème forestier
  • Sont systématiquement mises en application dans tout le paysage forestier.

Extrait d’un dépliant de la Forêt modèle de l’Est de l’Ontario: Certification des forêts. Le programme de certification de Boisés Est fait l’objet d’un partenariat avec la Forêt modèle de l’Est de l’Ontario.

3 décembre 2010 — Valoriser les petites sections boisées de l’Est ontarien qui entrecoupent les vastes terres agricoles, c’est la mission qui a été confiée à Yannick Loranger, depuis peu à contrat chez Boisés Est et au Conseil de l’intendance environnementale de Prescott-Russell.

Yannick, ce jeune homme de 25 ans qui a grandi sur une ferme laitière de la région de New Liskeard – dans le moyen Nord de l’Ontario – est très loin du militant extrémiste. Au contraire, dira-t-il durant l’entrevue qu’il accordait, on a le droit de couper des arbres, et même dans certains cas une coupe plus sévère peut s’imposer, tant que cela se fasse dans le but d’améliorer le boisé et d’en tirer un revenu équitable.

Ce qui est important, c’est que toutes les actions que l’on pose dans le boisé soient faites dans le « respect de celui-ci et de la faune qui l’habite », explique Yannick. « On doit chercher à conserver l’intégrité du boisé, dit-il, que ce soit en favorisant la faune, ou en tirant de celui-ci un revenu commercial ».

On s’aperçoit rapidement que le technicien forestier se double d’un grand amant de la faune et de la chasse. Les deux font naturellement bon ménage ensemble, dit-il.

De l’aide pour rédiger son Plan d’aménagement forestier
Et la bonne façon de conserver l’intégrité est encore de faire un plan d’aménagement forestier pour son boisé. On peut en faire une bonne partie soi-même et se faire aider par un professionnel pour les parties plus techniques.

Yannick espère être bientôt certifié pour approuver les plans d’aménagement qui lui seront soumis pour inscription au PEFFA (Programme d’encouragement fiscal pour les forêts aménagées). Son rôle est d’expliquer les principes des plans d’aménagement, du PEFFA et de la certification, et d’aider un peu nos membres à en bénéficier. Il pourra aussi s’occuper d’acheminer à qui de droit, la demande d’allégement fiscal de l’imposition foncière du boisé.

Car un des grands avantages d’un plan d’aménagement, est de pouvoir se prévaloir d’une réduction jusqu’à 75% des impôts fonciers sur les boisés au travail sur lesquels on applique « une gestion durable », le même dégrèvement fiscal dont bénéficient les agriculteurs pour les terrains zonés agricoles.

C’est en quelque sorte une compensation pour le travail et l’investissement que représentent la préparation et la mise en œuvre d’un plan de gestion forestière.

Et tout cela se passe maintenant en français, grâce entre autres au travail soutenu de l’Association française des propriétaires de boisés privés de l’Est de l’Ontario (qu’on appelle familièrement : Boisés Est) et le soutien financier de la Fondation Trillium de l’Ontario.

Plus besoin de se casser la tête pour comprendre la documentation rédigée dans l’autre langue officielle. Tout a été traduit ou adapté en français, si bien que tout le processus de production d’un plan d’aménagement ou de demande de certification peuvent maintenant se faire en français. Et l’on a une personne ressource bilingue avec Yannick, pour les prochains 10 mois, qui maîtrise bien le jargon technique de ce domaine dans les deux langues.

Fixer ses objectifs personnels
Un plan d’aménagement, par où commencer ? Comme dans beaucoup de choses qu’on entreprend dans la vie, le point de départ est de définir ce qu’on veut faire avec le boisé pour les prochains 20 ans. Avec le plan d’aménagement, on n’est nullement obligé de virer notre boisé en un chantier d’abattage.

Au contraire, il y a de la place pour en faire un sanctuaire de paix, si c’est ce qu’on recherche, ou n’y faire que la récolte de son bois de chauffage. Ou encore si cela nous correspond, on peut pousser plus loin l’exploitation en y prélevant du billot commercial, selon certaines règles, que l’on pourra vendre ou transformer soi-même en bois d’œuvre à l’aide de sa petite scierie mobile ou en faisant appel à des entrepreneurs locaux.

Lors de la rédaction du plan, à la section 5, on a le choix d’indiquer ce qui est le plus important et le moins important en termes d’objectifs personnels pour son boisé. Est-ce que c’est la protection de l’environnement?

La production de produits de la forêt? L’investissement immobilier? Les loisirs ? La faune ? Ou enfin, l’appréciation de la nature? Et toutes les combinaisons possibles des 6 objectifs généraux précédents.

Améliorer le boisé
Dans la plupart des boisés de la région, les meilleurs arbres (les plus gros, les plus droits, ceux qui poussaient le mieux) ont été coupés et sont partis depuis longtemps. C’est l’effet pervers des coupes d’écrémage que l’on voit encore à l’occasion. En somme, on a appauvri génétiquement nos boisés sans s’en rendre compte, explique Yannick.

C’est pourquoi, il y a tout un travail d’amélioration à faire dans la région, souvent en favorisant les meilleurs sujets qui ne seront souvent pas à couper avant bien des décennies. On doit remonter la qualité du boisé, et ça prend du temps.

Bien des propriétaires ne verront peut-être pas le résultat de leurs efforts de leur vivant, mais leurs successeurs en bénéficieront.

Pour faire de l’exploitation commerciale, comme la récolte de beaux arbres, le propriétaire d’un boisé certifié devra alors se doter d’une prescription forestière, de la part d’un forestier professionnel. Celle-ci indiquera qu’est-ce qui pourra être récolté, de quelle manière et à quel moment, de façon à maintenir l’intégrité du boisé, l’aider à progresser et à respecter les arbres semenciers et les endroits particuliers de nidification d’espèces rares.

On pourra aussi recourir aux services d’un marteleur pour identifier les arbres spécifiques à récolter pour satisfaire la prescription. Des cours d’initiation au martelage (identification des arbres à couper, conserver, etc.) pourront être éventuellement offerts dans la région, si la demande est là.

  • McNeil, Raymond, 2006, Le grand livre des champignons, Les Éditions Michel Quintin, Waterloo, Québec
  • Lamoureux, Yves, 2006, Champignons du Québec Tome 2 Les Amanites, Cercle des mycologues de Montréal, Montréal, Québec
  • Lamoureux, Yves, 1997, Champignons du Québec Tome 1 Les Bolets, Cercle des mycologues de Montréal, Montréal, Québec
  • Phillips, Roger, 1991, Mushrooms of North America, Little Brown & Company Canada, New York, New York
  • Sicard, Matthieu, 1999, Les champignons sauvages du Québec, Fides, Montréal, Québec
  • McNeil, Raymond, 2007, Champignons communs du Québec et de l’est du Canada, Les Éditions Michel Quintin, Waterloo, Québec
  • Després, Jean, 2008, Champignons comestibles du Québec les connaître les déguster, Les Éditions Michel Quintin, Waterloo, Québec
  • Barron, George, 1999, Mushroom of Ontario and Eastern Canada, Lone Pine field guide, Edmonton, Alberta
  • Boulet, Bruno, 2003, Les champignons des arbres de l’Est de l’Amérique du Nord, Les Publications du Québec, Québec, Québec
  • Pomerleau, René, 1980, Flore des champignons au Québec et régions limitrophes, Les Éditions LaPresse, Montréal, Québec

Par Pierre-Alain Blais, rédacteur en chef, Journal Agricom

Pierre Éthier, membre de longue date de Boisés Est et propriétaire de Wood Select à Clarence Creek, a commencé le bal en présentant certaines des difficultés les plus évidentes de la coupe de bois. Selon lui, on doit toujours scier les billots en fonction de l’usage qu’on en fera ou des besoins de l’acheteur éventuel.

Il a éclairci le mystère qui fait qu’un 2 par 4 qu’on se procure au magasin ne mesure pas exactement 2 pouces par 4 pouces, mais plutôt 1,5″ par 3,5″. Le bois brut a rétréci au séchage et il a dû être plané et rectifié, où davantage de bois de surface en a été retiré.

« Idéalement, on veut des planches qui sont droites du début à la fin et qui ont suffisamment d’épaisseur pour pouvoir les rectifier et les planer correctement », avertit le certificateur de bois d’expérience. Par exemple, dans le cas du bois franc destiné à l’ébénisterie, M. Éthier sait par expérience que pour atteindre une épaisseur finie de ¾ », il sera souvent nécessaire de scier un peu plus qu’un pouce d’épaisseur, soit 1 et 1/16 de pouce ou même 1 et 1/8″.

La différence entre l’épaisseur de sciage et l’épaisseur finale (bois perdu) dépend beaucoup de la manière dont on ouvre le billot et de la régularité du sciage, donc de la lame, de la machine et de l’utilisateur.

Il arrive fréquemment que des planches se déforment au sciage et surtout au séchage, même si elles ont été confinées sous une masse et bien séparées par des lattes. Souvent, c’est la façon dont on traverse les anneaux de croissance (le grain du bois), a expliqué Jean-Claude Havard, à l’aide de diagrammes. Les pires déformations sont dues à un retrait inégal du bois (que le bon scieur limite en ouvrant correctement la bille).

Il y a aussi les fameuses planches à la surface en vaguelettes, cauchemar des planeurs. Là, le problème serait le réglage adéquat de la tension de la lame, partage M. Labrie. La vitesse d’avance de la lame dans le bois brut doit aussi se faire en considération de la dureté du bois et des nœuds et du degré d’affûtage de la lame.

Et il y a aussi les gros billots qui proviennent de grands arbres qui ont poussé sous tension, comme un flanc de ravin. Ou ceux qui dépassaient de beaucoup la taille des autres (comme les ormes et les cerisiers noirs) et qui ont subi des décollements d’anneaux de croissance (la « roulure ») lors de tempêtes de vent ou de verglas. Les tensions internes provoquent des déformations difficiles à éviter.

Les planches vont « bouger » lors de la coupe, explique M. Éthier, alors que l’on se rapproche du cœur en enlevant progressivement le bois extérieur (aubier). Le scieur doit alors savoir s’ajuster, et tenter de « redresser le billot » sous peine de voir sécher des planches très tordues, avec des bouts plus épais et souvent très difficiles à rectifier.

Il ne suffit donc pas de trancher aveuglément des planches de bois brut, il faut le faire en fonction des particularités du bois. C’est là tout l’art et l’expérience du scieur… un long apprentissage et beaucoup d’observation.

Boisés Est prévoit présenter en mars 2011, un atelier complémentaire juste sur les techniques du sciage et l’art de faire des belles planches utilisables comme bois d’œuvre ou en ébénisterie (comme des armoires de cuisine).

Il y sera aussi question des techniques recommandées pour la présentation des lots de bois de sciage « comment sortir de la qualité et la mettre en valeur », histoire d’aller chercher les meilleurs prix lors des ventes à l’encan de bois, de déclarer Jean-Claude Havard, membre de longue date de Boisés Est.

Par Pierre-Alain Blais, rédacteur en chef, Journal Agricom

Sylvain Labrie de SMG Champion a pris le temps d’expliquer et de démontrer les différents entretiens essentiels que l’on doit faire sur la scie à ruban, si on veut avoir du plaisir à travailler avec sa scierie mobile.

Les lames s’usent, perdent leur affûtage, peuvent casser. À chaque fois qu’une lame – formée d’un alliage d’acier flexible – passe par l’un des volants de guidage, elle subit une torsion et cela finit par l’affaiblir.

« Il se développe des microfailles à peine visibles à l’œil, dans les gorges des dents qui doivent être limées », explique M. Labrie. Sans affûtage régulier, les failles finissent par s’étendre jusqu’au point où le ruban peut casser en plein travail, sous l’effet combiné de la tension et de la torsion.

Sans compter qu’une lame mal affûtée et fatiguée ne peut pas faire un bon travail égal et rectiligne de coupe.

De là l’importance d’un bon affûtage et de bien rectifier l’angle des dents (l’avoyage, qui détermine l’épaisseur du trait de scie). Ces dernières subissent aussi des tensions qui affectent la qualité du sciage. Elles doivent être avoyées à chaque aiguisage.

Pour les mordus, la compagnie SMG Champion offre un ensemble d’affûtage semi-automatisé pour les longues scies à ruban (qui peuvent atteindre la circonférence de 170 pouces). Là aussi, c’est une technique que l’on doit apprendre à maîtriser.

On doit pratiquer régulièrement… surtout qu’une lame bien affûtée est bonne pour environ 4 heures de coupe avant d’avoir à être affûtée à nouveau.

Pour les usages moins intensifs, on peut avoir recours aux services tarifés de spécialistes de l’aiguisage et de l’avoyage de scies à bande. Mais là encore, la qualité du sciage dépendra de la compétence de l’affûteur. Choisissez le (ou la) avec soin.

Par Pierre-Alain Blais, rédacteur en chef, Journal Agricom

Un champignon qu’on trouve souvent sur les bouleaux morts – le Polypore du bouleau – est célèbre parmi les amateurs de champignons, car il peut aider à sauver la vie de chasseurs égarés en forêt.

C’est une des petites informations qu’ont pu glaner au hasard les nombreux participants au dernier atelier Boisés Est qui se déroulait exceptionnellement en dehors des frontières de l’Ontario, à Papineauville (Qc), le samedi 18 septembre dernier.

En effet, deux experts de la région, Christiane et Michel Corbeil, ont offert un atelier d’identification des champignons et ont passé en revue les associations (très nombreuses) entre champignons et essences forestières.

En fait, de commenter les Corbeil qui donnent toujours leurs conférences à deux, l’année 2010 en est une mémorable pour la profusion de champignons que les amateurs ont pu observer, autant dans les boisés que dans les champs et même dans les parterres domestiques.

Ils ont mis en garde les participants de ne pas s’aventurer à consommer un champignon à moins de pouvoir en faire une bonne identification. Le problème est qu’un des plus toxiques est aussi l’un des plus beaux de la forêt, la fameuse Amanite tue-mouche. Petit détail à son sujet : ce grand champignon à lamelles et à verrues comporte toujours une volve, sorte de renflement comme un oeuf, à la base du pied.

C’est pourquoi, en identification de champignon, il est recommandé de cueillir délicatement tout le champignon jusqu’au pied qui est souvent à demi enfoui dans la litière forestière. Attention, les Corbeil avertissent qu’il ne faut pas se fier aux nombreux sites Internet pour confirmer une identification : hélas, n’importe qui peut publier n’importe quoi sur le réseau planétaire.

En fait, expliquent Christiane et Michel Corbeil, ces champignons que l’on voit « pousser » un peu partout en forêt ont presque tous une association avec des arbres (que les experts appellent mycorhizes – une association mutuellement bénéfique). Et l’on peut chercher leur arbre hôte jusque parfois plusieurs dizaines de mètres de là, donnant une idée du prodigieux réseau de mycélium que ces végétaux sans chlorophylle entretiennent sous la surface du sol.

Si la plupart des champignons sont bien visibles (en fait, c’est leurs fructifications qui émergent hors du sol), il y en a qui demeurent cachés, comme les chancres que l’on voit à l’occasion sur des arbres et qui font penser à de grosses tumeurs. Ce chancre, en réalité, est produit par l’arbre en réaction à l’action du champignon caché derrière qui essaie de l’envahir à cet endroit.

Mais il arrive parfois, comme cette année, où ce champignon se met à fructuer, et l’on aperçoit alors de petits champignons ronds délicats, blancs ou d’autres couleurs, apparaître quelques heures près du chancre.

Les forêts de résineux seraient bien meilleures pour la « chasse » aux champignons que les boisés d’érablières, que les Corbeil qualifient de pauvres en champignons. Mais par contre, on retrouve sur les bûches d’érable un des délices de la forêt, le pleurote, un champignon de couleur claire groupé en « tablettes sans pied », qui comporte des lamelles en dessous.

Ce champignon « comestible et bon », se retrouve aussi à l’épicerie fine. Le pleurote n’attaque pas l’érable. C’est en fait un « saprophyte » (un décomposeur), qui recycle ainsi le bois d’érable mort en humus utilisable par les myriades d’autres êtres vivants de la forêt.

Comme vous le savez, Boisés Est s’intéresse au dossier des crédits de carbone, qui pourraient devenir une source de revenus pour les propriétaires de boisé. Nous avons suggéré à plusieurs reprises à la Forêt modèle de l’Est de l’Ontario (FMEO) qu’elle pourrait jouer un rôle d’organisateur pour les organismes comme le nôtre afin de créer une masse de boisés suffisante… un peu comme elle le fait avec le programme de certification. Il semble que ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, puisque la FMEO annonce dans son dernier bulletin qu’elle s’oriente dans cette direction. Vous trouverez d’ailleurs dans le prochain numéro de l’INFO un article sur ce sujet. Pour de plus amples renseignements, cliquez sur le titre

Scieries Mobiles Gilbert
6325, Boulevard Wilfrid-Hamel
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Boisés Est n’a pas attendu bien longtemps pour mettre en route les programmes subventionnés par la Fondation Trillium de l’Ontario (FTO). Lors d’une réunion sur la certification forestière qui a eu lieu quelques jours après le lancement, quatre des membres présents ont décidé d’entamer les démarches pour faire certifier leurs boisés. Pour lire la suite, cliquez sur le titre.

Le 22 octobre dernier, la ministre des Richesses naturelles de l’Ontario, l’honorable Linda Jeffrey, en visite aux bureaux de Conservation de la Nation Sud à Finch, a profité de l’occasion pour lancer le nouveau Programme de ressources pour les boisés privés, financé par un octroi de 100 000 $ de la Fondation Trillium de l’Ontario. Pour lire la suite, cliquez sur le titre.